Le Mali s’aligne sur la CIPRES en matière de sécurité sociale.
Avec cette innovation législative, la ministre Dieminatou Sangaré vient de porter un grand coup. Une justification de carrière de quelqu’un qui a travaillé toute sa vie pour la sécurité sociale qui répond aux exigences
A noter que la patronne du département de santé est une ancienne directrice générale du CMSS.
Elle avait auparavant travaillé pendant des décennies entre l’INPS et CANAM. C’est une réussite de voir notre pays entamer le processus d’intégration des recommandations du CIPRES sur le régime juridique de la sécurité sociale dans le droit national.
De ce fait, on comprend le caractère interdisciplinaire du sujet, qui comprenait le ministre de la Refondation Ibrahim I kassa MAIGA, le ministre du Développement rural Modibo Kéita, le ministre de la Culture et de l’Hôtellerie Andogoly GUINDO, et le ministre délégué auprès du Premier ministre chargé des réformes institutionnelles, Mme Fatoumata Sékou DICKO.
Le président du Conseil économique, social et culturel, Yacouba KATILE, qui suit attentivement le dossier, a réaffirmé la sympathie du gouvernement.
Mme Dieminatou Sangaré représentait CANAM en tant qu’interface de l’entité continentale de sécurité sociale.
L’initiation d’un atelier national sur le transfert du fondement juridique de la sécurité sociale de la Conférence interafricaine du bien-être social (CIPRES) dans le droit national n’est donc pas un hasard. Le Mali ouvre la voie à 17 États pour mettre en œuvre des réformes importantes de manière véritablement inclusive afin d’obtenir le soutien national de toutes les nations.
Cela reste un critère pour s’assurer que les groupes de protection sociale atteignent l’objectif d’une gestion prudente des deniers publics.
Le ministre de la Santé avait raison dans le cadre de la mutation AMO en RAMU. Mieux, compte tenu du système de contrat de performance qu’elle a jusqu’alors défendu depuis le CMSS, il est certain que les organismes sociaux ne seront pas en reste pour ces nouveaux succès.
Il s’agit de leur organisation, de leur gouvernance, de leur gestion financière et technologique, etc.
Un travail sensible pour les présidents et les membres des conseils d’administration des organismes de protection sociale pour travailler ensemble afin que le Mali puisse continuer à relever le défi d’une gestion efficace pour une couverture sociale plus large et plus équitable.
Une vision entièrement soutenue par Lema Secrétaire Exécutive du CIPRES, Madame DJUKAN BOUBA Cécile Gernique, qui exprime ouvertement la volonté du Mali d’améliorer la gouvernance et de rationaliser l’administration des entreprises concernées.
Le Mali entame le processus d’intégration de la directive CIPRES sur le fondement juridique de la sécurité sociale dans son droit national.
Ibrahim Ikassa MAIGA, Ministre de la Refondation de l’Etat et des Relations avec les Institutions, a été rejoint par ses collègues de la Santé et du Développement Social, Mme Diéminatou SANGARÉ, du Développement Rural, Modibo Kéita, de l’Artisanat, de la Culture, de l’Hôtellerie et du Tourisme, Andogoly GUINDO, le Ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée des Réformes politiques et institutionnelles, Mme Fatoumata Sékou DICKO, et le
Les acteurs concernés par la gestion de la protection sociale auront besoin d’une semaine (du 26 septembre au 1er octobre 2022).
Ce sont ces participants qui délibéreront et débattront des techniques de transposition en droit malien du cadre juridique de la sécurité sociale applicable aux 14 États membres de la CIPRES.
Mme Diéminatou SANGARÉ, Ministre de la Santé et du Développement Social, a laissé entendre dans son allocution que le fondement législatif de la sécurité sociale est un changement substantiel prévu dans une méthode véritablement participative pour obtenir l’adhésion interne de toutes les nations.
C’est un cadre qui garantit aux organismes de sécurité sociale l’objectif d’une gestion prudente des finances publiques.
Selon le ministre de la Santé, diverses réformes affectent non seulement la structure et l’administration de l’OPS, mais également sa gestion financière et technologique.
« Il s’agit d’un moment décisif pour les 17 États membres de cette organisation, dont l’objectif premier est de fournir une protection sociale aux personnes couvertes afin d’améliorer leur bien-être. »
« Le fondement juridique de la sécurité sociale est appelé à devenir un véritable gouvernail conduisant à la construction de fondations solides sur lesquelles reposeront les systèmes nationaux de sécurité sociale adaptés aux conditions et spécificités de chaque Etat et s’intégrant dans un cadre normatif régional. elle a expliqué.
Le ministre de la Santé a remercié le CIPRES pour son concours avant de lancer « un vibrant appel à tous les présidents et membres des conseils d’administration des organismes de sécurité sociale (OPS) à travailler de concert pour que le Mali puisse continuer à relever le défi de la bonne gouvernance pour une couverture sociale plus large et plus équitable de toutes les couches ayant besoin de protection sociale ».
Madame DJUKAN BOUBA, Secrétaire Exécutif du CIPRES, est intervenue en visioconférence. Cécile Gernique s’est adressée à l’atelier. Ce cadre, selon elle, démontre la volonté du Mali de renforcer la gouvernance et de simplifier le fonctionnement des organismes de sécurité sociale (OPS).
L’article renforce encore les droits de l’assuré en établissant le fondement juridique.
Cela mettra fin à la prescription tant redoutée, qui devrait entraîner la perte absolue du droit à une pension de vieillesse ou d’invalidité.
A noter que le CIPRES, lors de sa 29ème session ordinaire du Conseil des Ministres en décembre 2019 à Madagascar, a adopté le socle juridique de la sécurité sociale, qui est devenu applicable à tous les organismes de sécurité sociale (OPS) de ses Etats membres conformément à la Directive n°001/CM/CIPRES adopté à la date indiquée.
Un défi remporté par Diaminetou Sangaré, qui s’annonce au cœur des mutations de son département pour renforcer la sécurité sociale, récemment numérisée.